Ce week-end, le dossier Neymar s’est provisoirement refermé du côté du Paris Saint-Germain.
Pas vraiment avec la conclusion attendue. Puisque tout l’été, le feuilleton de l’attaquant de 27 ans devait l’amener loin du club de la capitale. Sauf qu’au final, le FC Barcelone n’a jamais eu les moyens de ses ambitions et n’a pas réussi à répondre aux attentes du PSG, qui réclamait un deal d’au moins 220 millions d’euros. Un dénouement plutôt logique, d’après les dires de Frédéric Hermel.
PSG, Barça, Neymar… C’était le grand bluff
« Ça fait des semaines que je suis persuadé que le PSG n’avait pas vraiment envie de vendre Neymar. Et qu’en même temps, le Barça n’avait pas vraiment envie de recruter Neymar. Quand tu veux vraiment faire affaire, tu trouves toujours une solution. Le Real a 155 millions d’euros en cash, et ils auraient pu mettre un petit joueur avec, Navas par exemple. Donc il y avait vraiment une possibilité de vendre Neymar au Real, parce que le Barça n’a pas d’argent. Je suis persuadé que le PSG s’est un petit peu vengé de Neymar. Et que Leonardo et l’émir du Qatar ont imposé leur autorité ensemble. Je trouve ça bien. Pour la première fois depuis très longtemps, le PSG a montré qu’il était dirigé. Et que ce n’était pas les caprices de stars qui dirigeaient le club », a lancé, dans l’After Foot, le correspondant de RMC en Espagne, qui estime donc que Madrid n’a pas bougé cet été pour Neymar afin de conserver des billes pour Mbappé en 2020.