Polémique : Mathoux est à bout, Schneider et Ménès entrent dans la mêlée
Le football rend fou, et cela se voit clairement avec les supporters ou l’attitude des suiveurs sur les réseaux sociaux.
Pour un transfert, une petite phrase ou une décision arbitrale, les insultent tombent très facilement, surtout avec l’anonymat – relatif – que permet Internet. Avec les révélations sur les contours de l’intervention de Leonardo au Canal Football Club dimanche dernier, Hervé Mathoux s’était plaint du déferlement de violence sur les réseaux, expliquant même qu’il ne tarderait pas à fermer son compte pour ne plus avoir à suivre ça.
« Je ne m’habituerai jamais à la violence de Twitter, combinée à la violence des fans de clubs incapables d avoir un échange d’idées sans insultes ou grande théorie du complot. Le moment de mon abandon de Twitter (comme beaucoup l’ont déjà fait ) se rapproche de jour en jour », avait prévenu le journaliste et présentateur de Canal+. A ce message, Grégory Schneider, confrère de Libération qui intervient souvent sur les débats sur La Chaine L’Equipe, est venue y rajouter une couche en dénonçant… les autres, histoire de faire comprendre qu’il ne fallait pas le mettre dans cette histoire. « Une violence attisée par certains confrères, ce n’est pas plus mal de le préciser », a envoyé Grégory Schneider, qui ne sent clairement pas visé, ce qui a provoqué, en chaine, la réaction d’un Pierre Ménès dubitatif. « Un tweet qui en dit long sur le niveau pathétique et la prétention du mec. Next », a balancé le consultant de Canal+, dans cette petite guerre entre grandes gueules du monde du foot à la télé.