OM : 30 ME pour Rafael Leao, c’est non
Toujours à la recherche de bons coups sur le marché des transferts, l’Olympique de Marseille se penche sur le dossier Rafael Leao.
Après avoir bouclé la venue de Gerson, un milieu de terrain brésilien, le club phocéen cherche à renforcer encore un peu plus son effectif en vue de la saison prochaine. Pour répondre aux attentes de Jorge Sampaoli, Pablo Longoria multiple les pistes à travers l’Europe. Outre David Luiz ou Konrad de la Fuente, Marseille piste aussi Rafael Leao. Selon le journaliste Pedro Almeida, l’OM discute avec le Milan AC pour négocier un prêt avec une option obligatoire de plus de 30 millions d’euros. Un prix qui ne plaît pas vraiment à Jean-Charles De Bono.
« Je ne vois pas l’intérêt de prendre Leao si Milik reste »
« Leao, c’est un super joueur. Techniquement et offensivement, c’est fort. Il est capable de jouer des deux pieds, c’est plus un 9 qu’un ailier. Mais parfois, il est ailleurs, il disparait par moments. Il doit progresser dans ce domaine-là. C’est un chasseur de buts, il va très vite, il peut faire exploser une rencontre en un rien de temps. Il est un peu rêveur. C’est un joueur d’avenir, qui doit encore progresser. Si l’OM prend un jeune joueur comme lui à 30 ME, ce n’est pas pour le mettre sur un côté ou sur le banc derrière Milik. Je ne vois pas l’intérêt de prendre Leao si Milik reste, surtout à 30 ME. Et je ne sais pas si Leao pourrait répondre aux exigences demandées par Sampaoli. Après, je pense que l’OM a plus besoin de se renforcer à d’autres postes, comme en défense centrale par exemple », a expliqué le consultant de FC de Marseille, qui n’oublie pas que l’OM aura peut-être besoin de remplacer Dario Benedetto. Mais pas avec un joueur aussi cher…
Toujours les mêmes titres accrocheurs hors contexte pour attirer les clics.
Changez le titre “OM : 30 ME pour Rafael Leao, c’est non” en “Jean-Charles De Bono : 30 ME pour Rafael Leao, c’est non”.
Une habitude persistante sur ce genre de site de pseudo-journalistes discounts, comme il en existe trop aujourd’hui. Quelle tristesse, je bannis à vie.