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PSG : Donnarumma s’est pris pour Neuer, Luis Fernandez est remonté !

Coupable d’une erreur grossière, Gianluigi Donnarumma peut se sentir coupable après la défaite contre le Real Madrid (3-1) en Ligue des Champions mercredi. D’autant que le consultant Luis Fernandez ne se gêne pas pour accabler le gardien du Paris Saint-Germain.

On jouait la 61e minute à Santiago Bernabéu. Le Paris Saint-Germain, déjà vainqueur 1-0 à l’aller, menait sur le même score lors de ce huitième de finale retour de la Ligue des Champions. Tout se passait idéalement pour les Parisiens qui n’étaient que rarement inquiétés. Mais la partie basculait lorsque Gianluigi Donnarumma perdait le ballon sous le pressing de Karim Benzema, auteur de l’égalisation et de deux nouveaux buts par la suite. De quoi provoquer la colère de Luis Fernandez, remonté contre le gardien italien !

« Pour moi, la faute de Donnarumma est grave, elle est très importante, a souligné le consultant de beIN Sports. Parce que là il relance le match, il relance le Real Madrid. On a revu un Real Madrid avec un Karim Benzema exceptionnel qui a marqué trois buts et qui a encore été efficace. (…) Une faute sur Donnarumma ? Quelle faute ? C’est lui qui fait une erreur, et ensuite il en rajoute. A partir du moment où il a senti qu’il était pressé, il se jette. Peut-être qu’il est touché mais quand il reçoit le ballon, il a largement le temps, il a pris l’information, il doit la jouer vite. »

« Mais comme il croit qu’il a cette facilité, comme les gardiens d’aujourd’hui, de ressortir avec les pieds… La faute est très importante vu le déroulement du match, a répété l’ancien coach du Paris Saint-Germain, avant de revenir sur la décision de Mauricio Pochettino. Je n’étais pas content du choix de titulariser Donnarumma. Navas n’a jamais été un maillon faible, il a toujours été très bon. Donnarumma avait joué le match aller donc s’il y a cette alternance, Navas aurait dû jouer le match retour dans un stade qu’il connaît. Il aurait eu à coeur de faire un grand match. » Après cette non-titularisation, le Costaricien risque d’accuser le coup.

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