L1 : La VAR et ses problèmes, c’est un faux débat
Samedi, le championnat de France a refermé les portes de l’année 2019 lors d’un multiplex de folie à l’occasion de la 19e journée de Ligue 1.
Alors que retenir de cette phase aller ? Que le Paris Saint-Germain est bien parti pour remporter un neuvième titre de champion de France, avec sept points d’avance sur Marseille avec un match en moins. Que l’OM fait figure de favori dans la course à la deuxième place. Que le football tricolore est de moins en moins bankable sur la scène européenne, les tristes performances de Rennes et de l’ASSE en Europa League l’attestant. Et puis quoi encore ? Que la VAR continue de faire débat aussi. Installée depuis la saison 2018-2019, l’assistance vidéo à l’arbitrage ne fait toujours pas l’unanimité en L1. Si elle permet de corriger certaines erreurs, la VAR ne règle pas tout. Selon certains suiveurs, elle apporte même de nouveaux problèmes, avec une certaine sensation de double injustice parfois.
« Ça ne réglera jamais tous les problèmes »
Sauf que pour Dominique Armand, les acteurs de la L1 vont devoir faire avec cet outil arbitral, qu’ils soient pour ou contre. « Avec la VAR, il y a deux choses. D’abord, ça ne réglera jamais tous les problèmes, c’est un outil au service des arbitres. Et il ne faut pas que ça les déresponsabilise au niveau des prises de décisions et de la vitesse de ces prises de décisions », a lancé, sur le CFC, le journaliste de Canal+, qui estime donc que la VAR a encore des progrès à faire pour devenir imperfectible.
