Dominique Severac

PSG : 330 ME pour Mbappé, c’est donné pour le Real balance Dominique Sévérac

Encore et toujours dans l’incertitude par rapport à l’avenir de Kylian Mbappé, le Paris Saint-Germain commence à s’inquiéter, surtout que le Real Madrid se montre pressant.

En 2017, quand il a rejoint le club de la capitale française en l’échange de 180 millions d’euros, le champion avait déjà failli rejoindre le Real. Il faut dire que Monaco avait trouvé un accord avec Madrid, mais c’est Mbappé qui avait alors décidé de rejoindre le PSG pour la suite de sa carrière. Un choix pas définitif, puisque tout le monde sait que l’international français a envie de porter le maillot des Merengue un jour. Une volonté accomplie dès la saison prochaine ? Possible, sachant que selon Le Parisien, « les négociations seraient très avancées et un accord presque trouvé entre Mbappé et le club espagnol ». Reste désormais à trouver un terrain d’entente entre le PSG et le Real. Ce qui ne sera pas un frein, d’après les dires Dominique Sévérac.

« 180 millions d’euros de transfert et 30 patates par an, c’est que dalle »

« Mbappé échange avec les décideurs, à savoir Nasser et Leonardo, pour savoir ce qui va se passer au PSG l’été prochain. Il s’informe. Il veut une équipe qui gagne la Ligue des Champions. Les dirigeants font de la politique. Si Mbappé signe au Real, il va s’engager pour cinq ans. Donc Zidane ne restera pas les cinq ans. Si Zidane est là sur la première année, ce sera mieux. Mais au Real, il y a toujours de bons entraîneurs, des pointures. Après, au niveau de l’argent, Mbappé ne coûte pas cher. Cette opération ne coûterait rien au Real. Si c’est 180 millions d’euros de transfert et 30 patates par an, c’est que dalle par rapport à ce que ça peut rapporter. Car Mbappé, ça rapporte des titres, des buts, des fans, des marchés… Sur cinq ans avec Mbappé, le Real va générer plein d’argent. Franchement, c’est peanuts », a lancé, dans L’Equipe du Soir, le journaliste, qui pense que le Real aura tout cet argent pour recruter Mbappé dès 2021, et ce malgré la crise.

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