EdF : Diacre et Henry s’attaquent, Laure Boulleau est médusée
Alors que l’équipe de France féminine a validé son billet pour l’Euro 2022 grâce à son dernier succès contre l’Autriche vendredi (3-0), Corinne Diacre et Amandine Henry sont toujours en guerre…
Pas convoquée pour le rassemblement d’octobre dernier, Amandine Henry a finalement été rappelée par Corinne Diacre pour le sprint final des qualifications pour l’Euro durant ce mois de novembre. Si la sélectionneuse et sa capitaine ont fait un pas vers l’autre, les tensions sont toujours vives entre les deux. Puisqu’avant le remplacement musclé intervenu lors de France-Autriche vendredi au Roudourou de Guingamp, Diacre et Henry s’étaient écharpées mercredi dernier… Selon l’AFP, elles auraient effectivement eu un échange mouvementé quand la sélectionneuse a proposé un entretien à sa joueuse. « J’espère bien, ça serait bien que l’on puisse discuter », aurait d’abord répondu la Lyonnaise. « Oui, tout se paie dans la vie », aurait ensuite répliquée Diacre devant des Bleues médusées. « Tu me menaces ? », aurait enfin demandé Henry. Une conversation houleuse en public que Laure Boulleau a bien du mal à comprendre…
« Il y avait mieux à faire que ça… »
« À partir du moment où Diacre a repris Henry et qu’elle a fait sa conférence de presse, c’est un peu décalé de faire ce genre de réflexions… Il faut passer à autre chose en mettant les choses à plat. Mais le fait que Diacre revienne en arrière en faisant payer sa sortie à Henry, ce n’est pas bon pour le groupe… Comment se sortir de tout ça si personne ne passe à autre chose ? Elles se sont exposées devant tout le monde. La démarche est bizarre. Il y avait mieux à faire que ça… », a balancé, dans le Canal Football Club, l’ancienne joueuse des Bleues, qui sait que l’avenir de Diacre, surnommée « Coco-virus », à la tête de l’équipe de féminine est menacé, surtout si le clan des Lyonnaises ne se calme pas…
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« Visiblement très déçue par sa saison dans le Rhône, elle décrit cette période de sa vie comme «solitaire et démoralisant » En cause, des coéquipières qu’elle qualifie de « tristes », « réservées », «peu sociables », et une relation électrique avec l’entraîneur, Patrice Lair ».je n’invente rien deja il y avait malaise au seins de ce club.Et elles continues .