L1 : Maxime Lopez et les autres, Olivier Rouyer les traite de « trous du cul »
Arrivé à Sassuolo en fin de mercato, Maxime Lopez se réjouit de la rigueur imposée dans le football italien. Une déclaration récurrente qui provoque la colère d’Olivier Rouyer !
Un mois après sa signature à Sassuolo, Maxime Lopez a déjà dressé le constat que de nombreux joueurs font en quittant la Ligue 1. Pour l’ancien joueur de l’Olympique de Marseille, il n’y a pas photo, les séances d’entraînement en Italie sont beaucoup plus difficiles qu’en France. Et surtout, son entraîneur Roberto De Zerbi impose davantage de rigueur que son homologue phocéen André Villas-Boas. Une déclaration déjà vue et revue, et que l’on reverra encore des dizaines de fois. C’est pourquoi le consultant Olivier Rouyer a perdu son sang-froid, lui qui estime que les joueurs refusent de faire les efforts en L1.
« Je craque »
« Non mais là, il m’a défonce ! C’est affreux, s’est emporté le chroniqueur de La Chaîne L’Equipe. Je n’arrive pas à supporter ça, je suis totalement d’accord avec ce qu’il dit mais je ne le supporte pas. Moi ce que je dis, c’est que chez nous, les joueurs, excusez-moi, mais ils sont toujours en train de râler. Et ce sont les mêmes qui font ces déclarations-là ! Ils sont toujours en train de râler parce que l’entraîneur est exigeant, parce que l’entraîneur les fait rester un peu plus longtemps… Et dès qu’ils sont à l’étranger, c’est normal. Eh bien ce sont des trous du cul ! Excusez-moi mais ce sont des trous du cul ! Là je craque. Ça me tue. » Les entraîneurs de L1, eux aussi, doivent bondir en découvrant ces propos.