La Chaîne L'Equipe

PSG : Malgré Neymar et Mbappé, le Bayern reste favori de la finale

Dimanche soir, le Paris Saint-Germain affrontera le Bayern Munich en finale de la Ligue des Champions dans le Stade de la Luz de Lisbonne.

Pour la première finale de C1 de son histoire, le club de la capitale française aura fort à faire pour finir sa belle épopée sur le toit de l’Europe. En effet, pour soulever la deuxième coupe aux grandes oreilles du football français, après l’OM de 1993, le PSG devra venir à bout du Bayern Munich. Une équipe inarrêtable depuis le restart et invaincue depuis sept mois. Avec ce constat-là, et même si Paris monte en puissance après avoir dominé l’Atalanta et le RB Leipzig dans ce Final 8, la formation d’Hans-Dieter Flick est donc favorite pour cette finale, malgré la présence de Neymar et de Kylian Mbappé, deux des meilleurs joueurs au monde, dans l’effectif de Thomas Tuchel. C’est en tout cas l’avis de Ludovic Obraniak.

« Avec Neymar et Mbappé devant, ça peut faire très mal »

« Le favori de la finale de la Ligue des Champions ? On va dire le Bayern Munich. Car il faut se souvenir du parcours du Bayern. Ils ont étrillé Tottenham en phase de poules, ils ont étrillé Chelsea, ils ont étrillé le Barça, et ils ont battu l’OL. Après, on peut rééquilibrer la balance en disant que le match de Munich contre Lyon a désacralisé le 8-2 contre Barcelone. Le Bayern assume pleinement de jouer haut et accepte de se faire contrer. Contre l’OL, je les ai senti un poil usés physiquement. Les alignements défensifs, ce n’était pas ça non plus… Donc sur une défense comme ça, et sachant que le Bayern jouera son va-tout sur cette finale, avec Neymar et Mbappé devant, ça peut faire très mal. C’est pour ça que l’équilibre entre le PSG et le Bayern est là, mais honnêtement, il y a quand même un petit avantage pour le Bayern, sur la puissance collective de cette équipe », a lancé le consultant de La Chaîne L’Équipe, qui estime donc que le PSG devra rivaliser collectivement avec le Bayern tout en ayant un trio offensif ultra-efficace pour s’adjuger la deuxième Coupe d’Europe de son histoire, après la C2 de 1996.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page