PSG : Pérez boude, le Real n’en a pas fini avec Mbappé
Malgré ses récentes déclarations dans une émission espagnole, Florentino Pérez n’a pas abandonné la piste Kylian Mbappé. Le président du Real Madrid, selon Dominique Sévérac, est seulement vexé par l’échec de la Super Ligue.
« S’il ne vient pas cet été, personne ne va se tirer une balle », a lâché Florentino Pérez, comme pour acter la fin du dossier Kylian Mbappé. Car selon le président du Real Madrid, seule la Super Ligue aurait donné à la Maison Blanche les recettes nécessaires pour recruter l’attaquant du Paris Saint-Germain. Mais de son côté, Dominique Sévérac n’y croit pas une seule seconde et assure que le dirigeant parlait seulement sous le coup de la frustration après l’échec de son projet.
« Si Florentino Pérez a acté la prolongation de Kylian Mbappé au PSG ? Il n’a rien acté du tout l’ami Florentino Pérez, a calmé le chroniqueur de La Chaîne L’Equipe. Je comprends bien, le sujet principal, c’est l’avenir de Kylian Mbappé. Va-t-il rester ou quitter le PSG ? Eh bien je suis désolé, on n’a pas la réponse. Le garçon hésite. Il est partagé entre rester au PSG encore quelques années et partir. Et ce n’est pas parce que Florentino Pérez dit ça qu’on a la solution. »
« Pérez ne ferme pas du tout la porte »
« C’est l’histoire d’un homme de 74 ans qui est vexé parce que la Super Ligue qui était son grand projet n’a pas été adoptée, a raconté le journaliste. Donc il dit : “vous n’avez pas voulu de la Super Ligue, eh bien vous n’aurez pas Mbappé.” C’est juste l’histoire d’un homme qui n’a pas aimé la façon dont il a connu un fiasco et une défaite politique. Parce que si l’on écoute bien l’émission, on lui demande si Mbappé ne viendra jamais. Et il dit : “non, je n’ai pas dit ça.” Donc il ne ferme pas du tout la porte. Vous verrez que dans d’autres déclarations dans un mois, il dira qu’il aura trouvé de l’argent. C’est un feuilleton, on n’en est qu’au début. » Malheureusement pour le PSG…
Mbappe très très surévalué, le Real n’en a pas besoin et la Liga non plus.
Laissez le au PSG.
Vive l’Espagne