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OL : Avec Juninho et Sylvinho, Lyon peut viser la lune

Dimanche, l’Olympique Lyonnais a provisoirement perdu la tête de la Ligue 1, puisque le Stade Rennais a réalisé un troisième sans-faute à Strasbourg (2-0).

Le club rhodanien, qui compte un match en moins, se retrouve donc dans le deuxième peloton du championnat, juste devant le PSG. Mais en attendant sa troisième journée de la saison, à Montpellier mardi, l’OL garde le sourire. Après deux magnifiques victoires contre Monaco (3-0) et Angers (6-0), Lyon a retrouvé un certain optimisme. Ces derniers jours, les supporters de Gones pensent même que leur équipe est capable de rivaliser avec Paris dans la course au titre. Tout cela grâce au retour de Juninho et aux bons débuts de Sylvinho. Corentin Marabeuf en est convaincu.

Juninho + Sylvinho = trophée

« Pour regagner le coeur de ses supporters, Aulas ne pouvait pas frapper plus grand coup qu’en faisant revenir Juninho à la maison. Le retour de l’ancienne idole de Gerland donne un nouvel élan à cet OL qui en avait bien besoin. Il compte inculquer sa culture de la gagne aux joueurs lyonnais, leur apprendre cette rigueur qui lui a permis de faire la carrière qu’on lui connaît et leur transmettre cette identité club qui a souvent fait défaut par le passé. Grâce à ses valeurs, un discours clairvoyant et un mercato bien mené, Juninho a redonné envie à tout un peuple de croire à nouveau en l’OL. Sylvinho a sauté dans le grand bain cet été à l’OL. Le Brésilien marque la rupture avec son prédécesseur Bruno Genesio. Il s’efforce de mettre en place une nouvelle philosophie de jeu. Il souhaite mettre en place une base défensive solide, avant toute chose. Pour lui, le pressing est le maître-mot, avant de prôner les transitions rapides vers l’avant dès la récupération du ballon. Pour l’instant, à travers son 4-3-3, ses concepts et sa méthode de management semblent parfaitement convenir à son groupe, qui développe un football alléchant depuis le début du championnat », a lancé le journaliste d’Olympique-et-Lyonnais, qui estime donc que l’idylle lyonnaise peut se poursuivre jusqu’au dépoussiérage du palmarès, vide depuis 2012. À confirmer toutefois lors des prochaines semaines…

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