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OL : Hervé Mathoux l’avoue, c’est chaud entre Canal et Lyon

En Ligue 1, l’Olympique Lyonnais fait partie des trois plus gros clubs du championnat de France avec le Paris Saint-Germain et l’Olympique de Marseille.

Le fameux « PLM », de Paris à Lyon en passant par Marseille, est présent partout dans les médias qui parlent de foot. Si des clubs historiques comme Monaco, Nantes, Bordeaux ou Saint-Etienne font aussi parler d’eux, les journalistes se concentrent surtout sur le PSG, l’OM et l’OL, les clubs qui ramènent le plus d’audience. Malgré son statut de diffuseur historique de la L1, Canal+ suit également cette règle, puisqu’en général, la chaîne cryptée diffuse les matchs des trois gros bras du championnat à chaque journée. Autant dire que C+ a créé des liens particuliers avec ces formations-là, et notamment avec l’OL et son président Jean-Michel Aulas. Ce qu’Hervé Mathoux ne cache pas.

« Le rapport avec l’OL, c’est chaud – froid »

« L’image de l’OL à Canal ? C’est un club à forte identité. Il n’y en a pas tant que ça… Avec une communauté très présente et très intervenante. Et avec un président très présent et très intervenant. L’OL fait partie des gros clubs. À Canal, on parle essentiellement de Paris, Marseille et Lyon. Ce sont les trois plus grosses communautés de supporters. L’OL est un grand club, avec un modèle très identifié. Avec eux, on a des rapports : ‘Je t’aime, je t’aime plus’. C’est assez caractéristique des rapports que l’on a avec Jean-Michel Aulas, qui s’en prend très souvent à nous à l’antenne. Le rapport avec l’OL, c’est chaud – froid. Mais globalement, ça fait partie des clubs avec lesquels on travaille bien. C’est très pro et très structuré. On a plutôt plaisir à travailler avec l’OL, en dépit des montées de température subites et parfois injustifiées », a avoué, dans OL Night System, le journaliste de Canal+, qui sait que Lyon occupe par exemple une place centrale chaque dimanche soir dans le CFC. Preuve que l’OL est un club qui compte en France, malgré une absence de trophée depuis 2012.

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