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OM : MacHardy conseiller spécial de McCourt à Marseille

André Villas-Boas est arrivé à l’OM depuis maintenant deux semaines. Après l’échec de Rudi Garcia, le coach portugais veut enfin donner une image performante au Champions Project.

Celui que certains voient comme le nouveau Mourinho est au courant de la situation de l’Olympique de Marseille. Il l’a d’ailleurs dit lors de sa présentation officielle, il faudra faire attention au fair-play financier. Jonathan MacHardy est revenu dans l’AfterFoot de RMC sur les transferts ratés de l’ancien entraîneur lillois et donne les indications à suivre pour cette saison.

« Il y a des coups à faire ! »

« Les noms qui sortent actuellement sont des joueurs avec lesquels tu pourras te faire un effectif sur trois voir quatre saisons. C’est du recrutement à moyen terme. Ils pourront progresser ensemble. Là, ce qui a été fait avec Rudi Gracia et Jacques-Henri Eyraud, ça été du court terme. Ce n’était que des joueurs où tu balançais une blinde dessus et au final la rentabilité n’est pas immédiate et le potentiel de revente est nul. Même Strootman… aujourd’hui on nous apprend qu’il met une heure pour juste se débloquer le dos avant de débuter l’entrainement. Avant de recruter un joueur, renseigne-toi un petit peu. C’est terrible, il est rincé physiquement et il n’est pas à la hauteur d’un investissement que tu as consenti », a d’abord lancé Jonathan MacHardy avant d’aller plus loin dans son analyse.

Et le consultant de RMC de continuer. « Il faut reconstruire un pole de joueur qui ont un potentiel à la revente intéressant et cela ça passe par des paris. Je pense qu’il y a un certain équilibre à avoir dans ce mercato-là. Il va falloir prendre 3 tauliers, un sur chaque ligne et après faire des paris sur des joueurs de compléments. Il y a des coups à faire. Ce que je veux dire c’est qu’on s’en fout des grands noms ! Ce qui est important c’est d’arriver cette fois-ci à faire un mercato équilibré entre rentabilité sportive immédiate et des joueurs que tu revendras plus tard avec une plus-value. Sans tout cela, tu ne pourras rien faire » argumente Jonathan MacHardy.

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