Pierre Ménès

L1 : Les clubs arnaqués au Brésil, le coup de gueule de Pierre Ménès

Quasiment éliminé de l’Europa League après sa défaite contre le Slavia Prague (1-3) jeudi, l’OGC Nice n’est pas récompensé pour son recrutement ambitieux. Et si le club azuréen s’était trompé cet été ?

Ce n’était donc pas un accident. Déjà battu au match aller (3-2) avant la trêve internationale, l’OGC Nice a de nouveau subi la domination du Slavia Prague (1-3) à l’Allianz Riviera. Une défaite logique compte tenu de la supériorité du champion de République tchèque, plus cohérent collectivement et même plus talentueux sur le plan individuel. Mais comment expliquer cet écart de niveau alors que le Gym possède des moyens supérieurs ? Pour Pierre Ménès, c’est simple, les pensionnaires de Ligue 1 doivent arrêter les erreurs de casting au mercato, à l’image du renfort azuréen Robson Bambu pour le moment décevant.

« Une joyeuse escroquerie »

« Cette équipe du Slavia, qui a pourtant un budget sans commune mesure avec celui du Gym, produit une qualité de jeu très correcte et possède des joueurs offensifs qui, contrairement à ceux de l’OGCN, savent dribbler, faire des passes et jouer juste, a comparé le journaliste de Canal+ sur son blog. J’ai été effaré par le niveau global de cette équipe niçoise, notamment au sein d’une défense orpheline de Dante. Même s’il est jeune et qu’il faut attendre un peu, le dénommé Bambu a tous les contours d’une joyeuse escroquerie. Il va falloir que les clubs français arrêtent de se dire qu’un mec est bon parce qu’il est Brésilien et se mettent à bosser un peu mieux au niveau du recrutement. » Convoité par Lille et par l’Olympique Lyonnais cet été, le défenseur central de 23 ans a été recruté à l’Athletico Paranaense pour 8 M€.

Un commentaire

  1. Et oui, les générations « pognons » qui pense que fric+sud américain= talent sur ou africain= bonne affaire et font confiance au agents sans vérifier sont bien présents. Il est loin ou les clubs recrutaient et se déplaçaient à plusieurs reprises voir un joueur. Mais à l’époque ils avaient droit à deux ou trois «  étrangers

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