OM : Du jamais vu depuis Bielsa, Pierre Ménès s’enflamme
Dauphin du PSG après 17 journées, l’OM est sur une série de 5 victoires consécutives. Face à Metz, ce samedi, Marseille peut faire un pas de plus vers cette place de second avant la trêve hivernale. C’est en tout cas ce que pense Pierre Ménès.
L’OM n’en finit plus de surprendre cette saison. Actuellement deuxième de Ligue 1, les Marseillais restent sur six victoires de suite, une série que les supporters n’avaient pas forcément envisagés au moment de l’annonce de la longue absence de Florian Thauvin, joueur de majeur de l’OM, en début de saison. Et pourtant, sans le champion du monde 2018, les Phocéens montrent un beau visage comme en atteste le classement de l’équipe. Connu pour casser du sucre sur le dos des gros clubs français lorsque les résultats sont décevants, Pierre Ménès a tenu un discours tout autre, dans l’émission « Parlons Ballon », au moment d’évoquer la saison de l’OM, et de son entraîneur, André Villas-Boas. Le consultant de Canal + le dit, il a été surpris par le Portugais depuis son arrivée à Marseille cet été.
Il est impressionné par Villas-Boas
« Il y a toujours ce qu’il faut dans le contenu pour l’emporter. Je trouve qu’il y a un état d’esprit, une combativité. Il y a clairement quelque chose qui se passe. Compte tenu de l’étroitesse et surtout en quantité de l’effectif je trouve que c’est vraiment bien […] Il y a une cohérence, une logique dans les choix de Villas-Boas. Il y aussi de la persévérance. Il persévère avec Payet à gauche et on voit que plus Payet est bien, en plus il dézone. Le fait de ne pas avoir remis Alvaro, et d’avoir laissé Caleta-Car et Kamara. Voilà, il y a des vrais choix et pour l’instant tous les choix de Villas-Boas sont payants. Je suis très impressionné par son travail […] J’étais pas super emballé par son arrivée. Il n’avait vraiment pas bien fait à Tottenham. Peut-être que c’est un mec qui apprend, avec un effectif à sa dimension. On n’a pas vu ça depuis Bielsa … », conclut le polémiste, qui n’a pas peur de comparer la réussite récente de l’entraîneur portugais à celle de l’Argentin lors de son passage remarqué à Marseille.
