Pierre Ménès : Les accusations tombent, il se dit victime de « terrorisme »
Bientôt de retour dans le paysage audiovisuel du football français avec sa nouvelle plateforme médiatique, Pierre Ménès est loin d’en avoir fini avec Canal+…
L’affaire semblait pourtant terminée. Il y a quelques jours, L’Equipe annonçait que Pierre Ménès et la direction de Canal+ avaient trouvé un accord, sur la base d’un chèque de 500 000 euros, pour mettre fin à leur histoire. Avec son retour dans le game, le 12 octobre prochain via son « Pierrot Football Club », le journaliste pensait prendre un nouveau départ. Ces dernières heures, sur la chaîne Youtube de Julien Le Gone, Pierre Ménès avouait même ne plus être inquiet : « Il y a un féminisme exacerbé qui tourne pour certaines au terrorisme. Moi j’adore les femmes et la compagnie des femmes, même si dans ce métier il n’y en a pas beaucoup. Ce qui me tue dans cette histoire c’est que la présomption d’innocence n’existe pas dans ce pays. Je rappelle que je n’ai fait l’objet d’aucune plainte, d’aucune enquête et que l’enquête interne à Canal+ n’a rien donné ».
Sept plaintes et un signalement devant la justice
Une version démentie, vu que selon les informations du site Les Jours, l’enquête interne lancée par la direction de la chaîne cryptée a bien débouché sur des plaintes. « Sept personnes ont en effet déclaré avoir été victimes des agissements de Pierre Ménès au sein du service des sports de Canal+. Au point que, toujours selon nos informations, un signalement est en cours auprès de la justice de la part de l’inspection du travail », peut-on lire sur le média, qui avait révélé cette affaire Ménès au grand jour après la diffusion du documentaire « Je ne suis pas une salope, je suis journaliste » de Marie Portolano. Désormais, Pierre Ménès va donc devoir répondre de ses actes devant la justice.