Algérie : Nabil Djellit désigne le futur meilleur joueur de l’histoire
Capitaine et star de l’Algérie, Riyad Mahrez emmènera sa sélection lors de la Coupe d’Afrique des Nations en janvier. Peut-être l’occasion pour lui de marquer encore un peu plus l’histoire de son pays.
Au sein du collectif bien rodé de Manchester City, aucun joueur ou presque n’est mis en avant. Pas même les éléments offensifs qui font régulièrement la différence comme Riyad Mahrez. Pour l’ailier mancunien, la situation est bien différente en Algérie, une sélection dont il est le capitaine et la star incontestée. Il faut dire que le Fennec assume totalement son statut lorsqu’il porte le maillot de son pays. A tel point que Nabil Djellit le verrait bien devenir le meilleur joueur algérien de l’histoire.
« La star de l’équipe, c’est évidemment Riyad Mahrez qui est un des meilleurs joueurs de la planète actuellement, a encensé le journaliste dans une chronique pour Onze Mondial. Il a encore été nommé au Ballon d’Or pour la troisième fois. C’est la crème de la crème, le gaucher algérien au toucher soyeux et au contrôle incroyable. Riyad Mahrez, c’est actuellement l’âme de la sélection algérienne, c’est un garçon qui a pris ses responsabilités, qui s’est investi, qui s’est impliqué, qui est devenu capitaine avant la Coupe d’Afrique des Nations en Egypte. C’est encore une bonne idée de Djamel Belmadi. »
« Ensuite Riyad Mahrez, en plus d’être un leader impactant, c’est aussi le terrain, ce sont des statistiques incroyables, c’est un garçon qui a quasiment une trentaine de buts, plus de 30 ou 40 passes décisives. Il est décisif, et souvent sur les gros matchs, sur les matchs qui comptent, là où il faut faire la différence. C’est la star algérienne, un peu comme pour Djamel Belmadi quand on se demandait si c’était le meilleur sélectionneur de l’histoire de l’Algérie. A ce rythme Riyad Mahrez, même si l’Algérie a une histoire forte avec des génies comme Dahleb, Madjer et Belloumi, il y a de fortes chances qu’il passe devant tout le monde », a annoncé Nabil Djellit à l’approche de la CAN en janvier.