OMPresse

OM : Comment sauver le soldat Amavi ? Il a la solution

Invaincu depuis le 10 août dernier, l’Olympique de Marseille vit actuellement une très bonne passe.

Malgré cette période faste, certains joueurs du club phocéen sont à la peine. C’est notamment le cas de Jordan Amavi. En grande difficulté depuis plusieurs mois, et plus généralement depuis sa première convocation en équipe de France en octobre 2017, le latéral gauche n’arrive pas à reprendre le dessus à l’OM. Dimanche, lors du nul contre Rennes (1-1), le joueur de 25 ans a même touché le fond en étant remplacé à la mi-temps. Pris à partie par le public du Vélodrome, l’ancien Niçois est clairement dans le dur. Alors comment le sauver et renverser la tendance de sa carrière ? Sauveur Lombardo a une idée.

Les coéquipiers et le staff en sauveurs

« Il ne peut pas lutter seul contre une éternelle agression. C’est un joueur qui a de vraies qualités, mais il souhaite tellement réaliser des choses extraordinaires pour ramener le public vers lui qu’il finit par se trouer, car il est en tension. Il faut agir avec lui de manière très concrète et très rapide en le faisant prendre conscience de sa réalité. Dans ce qu’il fait, il y a du bon et du pas bon, et le jugement extérieur ne retient que ce dernier paramètre. Les coéquipiers et le staff forment le clan, qui est l’un des piliers de la performance, au même titre que son statut, son contrat, son travail et sa famille. Si ces piliers sont nourris, vous pouvez construire quelque chose. S’ils sont défaillants, tout peut s’écrouler. Il doit échanger avec ses coéquipiers de manière très constructive. Ils connaissent sa valeur et doivent le lui montrer sans cesse. S’il ne peut pas s’appuyer sur son clan, le travail qu’il va faire sur lui restera très fragile », a lancé, sur Le Phocéen, l’ancien coach mental de l’OM, qui estime donc que le renouveau d’Amavi passera par son équipe. André Villas-Boas l’a très bien compris, surtout que Marseille ne dispose pas vraiment d’une solution de repli à ce poste de latéral gauche…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page