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PSG : L’Atalanta n’est plus un bon tirage, Julien Cazarre panique

Le Paris Saint-Germain aura fort à faire dans les prochaines semaines. Le club de la capitale devra vite retrouver du rythme, notamment pour défendre ses chances en Ligue des champions.

En démonstration au Havre il y a quelques jours, le Paris Saint-Germain sait qu’il doit monter en puissance pour faire face aux échéances qui arrivent. Les champions de France affronteront Saint-Etienne en finale de la Coupe de France avant de jouer Lyon en finale de la Coupe de la Ligue puis de finir sur un quart de finale de Ligue des champions face à l’Atalanta Bergame. Un adversaire qui ne cesse d’impressionner de l’autre côté des Alpes. Si le tirage pouvait paraitre clément dans un premier temps, Julien Cazarre commence à avoir peur des Italiens.

“Je sens que la chatte, je vais lui prendre les boyaux pour en faire des cordages de raquettes”

Lors d’une chronique pour France Football, le consultant a affiché son état d’esprit. “Forcément, quand le tirage au sort du Final 8 pointait le bout de son blaze, on sentait arriver la douille comme un prisonnier manchot dans les douches d’une prison turque. En toute logique, ça devait donner le gagnant de Real-City en quarts et le vainqueur de Barça-Bayern en demies, merci, bonsoir. Puis la nouvelle est tombée comme une bombe. Le PSG tirait l’Atalanta et le gagnant de Leipzig-Atletico en demies ! C’est pas possible, je devais rêver. Là, c’était pas une chatte mais carrément une jaguar, une cougar. Avec les potes, on s’est appelés comme si on avait appris le déconfinement au mois d’avril et on a fait péter le champagne en chantant “On est en finale”. “Hé les gars, si on se faisait Juve-Atalanta avec de la bière et des pizzas samedi pour voir les Bianconeri désosser nos futures victimes ?” “Ha, ha, ha, oui, les pauvres Lyonnais, ils vont prendre cher au retour.” Samedi, 23h30… L’Atalanta vient de balader la Vieille Dame qui n’a dû son salut qu’à l’homme en noir qui lui a offert deux pénos généreux comme un yaourt et une pomme à la mamie de l’EHPAD. On a rangé les bières tièdes et les restes de pizzas, puis on est rentrés chez nous en voiture en écoutant à la radio un correspondant italien nous expliquer que Bergame était peut-être l’équipe post-Covid la plus compétitive. Je sens que la chatte, je vais lui prendre les boyaux pour en faire des cordages de raquettes. Sauf si…”, a notamment indiqué Julien Cazarre, qui sait que le PSG aura fort à faire face à la Dea.

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