PSG

PSG : Tuchel n’est pas à Châteauroux, Julien Cazarre attaque

Alors que son Paris Saint-Germain n’est même plus en tête de la Ligue 1, Thomas Tuchel continue à chercher son équipe-type.

Il faut dire que l’entraîneur allemand n’est pas aidé par ses joueurs. Entre le Covid-19, les blessures des uns et les méformes des autres, le club de la capitale n’est jamais à 100 % de ses moyens. Par conséquent, Tuchel doit bricoler avant chaque rencontre. Et à la mi-saison, l’ancien technicien de Dortmund n’a donc toujours pas trouvé le bon système de jeu pour son groupe, entre le 5-3-2 du moment ou l’ancien 4-4-2… Un tâtonnement qui agace tous les suiveurs du PSG, à l’image de Julien Cazarre.

« Je suis trop grand maintenant et j’ai arrêté de croire au père Tuchel »

« Cher papa Tuchel, je t’écris ma lettre un peu tard, je sais, mais tu comprends, entre Mediapro, la chasse aux sorcières des rigolos et le Covid, j’étais un peu occupé. Je n’irais pas jusqu’à exiger une victoire finale en LDC à Istanbul car je sais que tu as beau avoir des pouvoirs magiques (français, argentins ou brésiliens), en face t’as les Avengers qui t’attendent pour te faire bouffer ta barbe et tes clochettes. Vu que le sort a décidé de s’acharner sur le pauvre club parisien. Il se trouve que, comme par hasard, malgré les probabilités qui nous annonçaient Mönchengladbach, on tombe encore sur la Pulga Team, celle qui n’a qu’un seul lutin, mais qui finit toujours par te remplir la hotte. Je te demande une chose simple, très simple. Si tu pouvais juste une fois (allez deux, avec le retour) oublier le nom de l’adversaire et ne pas te mettre en mode entraîneur de Châteauroux, avec une compo qui ressemble à mon petit neveu quand il voit sa tatie qui pique avec sa moustache approcher pour lui faire un bisou. Juste y aller en conquérant, en patron, en taulier ! En même temps, je te dis ça… Je suis trop grand maintenant et j’ai arrêté de croire au père Tuchel », a lancé, dans France Football, l’humoriste, qui espère que Tuchel imposera enfin ses idées en 2021 à Paris. Il serait peut-être temps après deux ans et demi d’hésitations…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page