Daniel Riolo pointe du doigt le problème n°1 de la VAR
Si la Coupe du monde féminine fait un carton à la télévision, elle fait également beaucoup réagir en raison de l’utilisation excessive de la VAR.
Et pour cause, il n’y a désormais plus un match sans une polémique liée à l’arbitrage vidéo, l’Equipe de France est bien placée pour en témoigner. Pour Daniel Riolo, un anti-VAR assumé de la première heure, c’est avant tout parce que la VAR est désormais utilisée pour tout et n’importe quoi que tout cela ressemble à un vrai capharnaüm. Car le polémiste de RMC le rappel : initialement, cet outil ne devait être utilisé que pour réparer des erreurs manifestes. De toute évidence, ce n’est plus le cas désormais.
Une utilisation trop excessive de la VAR
« Les pro-VAR continuent à dire que si cela ne marche pas c’est parce que c’est mal utilisé, que c’est un outil de progrès qu’il faut savoir fonctionner, que les arbitres sont nuls… Très bien, mais combien de temps vont durer ce genre d’excuse ? Si la technologie nous permet de voir une erreur on ne peut pas l’ignorer, ça c’est la phrase de base. A priori, même nous qui sommes anti-VAR, on veut bien. Mais à la base la vidéo, c’est pour les erreurs manifestes et on n’est plus du tout là-dedans maintenant » a regretté Daniel Riolo, définitivement pas fan de l’assistance à l’arbitrage vidéo et de son utilisation.