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OL-OM : Lopes fait le kamikaze, ça part en clash sur Twitter !

Lors de l’Olympico entre Lyon et Marseille dimanche (1-1), la nouvelle sortie kamikaze d’Anthony Lopes a fait couler beaucoup d’encre sur les réseaux sociaux. Trop même…

À l’image de Dimitri Payet, Anthony Lopes ne traverse jamais un Olympico en mode fantôme. En bien, et surtout en mal… Car après s’être transformé en boxeur en 2018, le gardien des Gones s’est un peu pris pour un catcheur dimanche au Groupama Stadium. Dans le temps additionnel de la première période, le portier de 30 ans a effectivement gratté un ballon avec autorité avant de percuter violemment Alvaro Gonzalez avec ses genoux… Un geste, pas sanctionné par Stéphanie Frappart, qui a causé une grosse colère chez André Villas-Boas, qui a alors écopé d’un carton jaune. Sur Twitter, ce fait de jeu a aussi fait débat, avec la question du penalty. Mais pire encore, cette affaire a créé une énorme embrouille entre Hugo Guillemet, journaliste de L’Équipe et suiveur de l’OL, et Romain Canuti, journaliste du Phocéen et suiveur de l’OM.

« Les voyous de Twitter on connaît »

Hugo Guillemet : « L’arbitrage de Mme. Frappart est vraiment très bon, ça change de pas mal d’autres arbitres ».

Romain Canuti : « Et mot sur la sortie de Lopes ? ».

Hugo Guillemet : « Il arrive largement avant, il la maîtrise, puis Alvaro vient buter sur ses jambes.. tout le monde à peu près du même avis ici, après plusieurs ralentis ».

Romain Canuti : « Yo cesse ton baratin, t’es qu’un fils de bars à timp ».

Hugo Guillemet : « Pardon ? ».

Romain Canuti : « Ce sont les paroles d’une chanson populaire. Un clin d’œil comme on dit dans le jargon ».

Hugo Guillemet : « Canuti ridicule ? Je vais l’appeler demain, il fera peut-être moins le mariole. L’insulte ça me débecte. On se croisera façon puisque apparemment il est journaliste ».

Romain Canuti : « Les voyous de Twitter on connaît par contre, concentre toi sur le match ».

Hugo Guillemet : « Arrête de jacter, tu viens d’insulter sans raison donc maintenant tu la fermes et on parlera demain ».

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