Ça va péter à l’OM, Florent Gautreau signale trois gros problèmes
Après avoir glané un succès précieux sur la pelouse du FC Metz lors de la journée précédente, l’Olympique de Marseille a été vaincu devant son public ce dimanche soir par Clermont en clôture de la 25e journée de Ligue 1 (0-2).
Une partie qui a vu l’OM être totalement perdu sur le rectangle vert. On le sait, Jorge Sampaoli est un habitué des tactiques peu ordinaires et si souvent cela permet de voir un spectacle de haute volée, ce dimanche cela a surtout desservi son équipe. Ce qui a permis au Clermont Foot de venir chercher trois points capitaux au stade Vélodrome.
Un revers qui fait surgir de nouvelles questions concernant Jorge Sampaoli et sa gestion de l’effectif phocéen. En effet, certains de ses choix sont difficilement compréhensibles, comme sa façon de faire avec Arkadiusz Milik. Pourtant, le buteur polonais est en très grande forme en ce moment. Mais pour Florent Gautreau, la raison de cela est assez limpide : l’ancien coach du Chili n’apprécie pas le profil du joueur prêté par le Napoli. De plus, le journaliste alerte : avec une telle gestion, il se pourrait bien que ça explose en terre olympienne.
« Qui sème le vent récolte la tempête, qui sème le doute récolte le Mistral on dirait cela à Marseille. À force d’avoir une gestion un peu particulière des joueurs et du vestiaire, cela donne des petites bombes à retardement qui pourraient bien exploser si l’OM connait des résultats moins bons. On a tous été séduit par Jorge Sampaoli. Pour le moment, il réussit son mandat. Cela n’empêche pas qu’on se pose des questions : la façon dont Steve Mandanda a été mis de côté, il y avait peut-être une façon de le faire, surtout avec un tel joueur. Pareil pour Alvaro qu’on a essayé de dégager, lui qui est un membre important du vestiaire. En gros, dans sa gestion du cas Milik, Sampaoli n’aime pas ce joueur. Il n’empêche que Milik marque beaucoup et lui couper l’herbe sous le pied au bout de 64 minute face à Qarabag… Je trouve que l’attitude de Sampaoli n’est pas adaptée », a exposé un Florent Gautreau qui parait donc quelque dubitatif quant à la façon de faire du technicien argentin.