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FCGB : Jérôme Rothen met un stop à Lopez et Quillot

En vente depuis plusieurs semaines maintenant, le club des Girondins de Bordeaux intéresse de nombreux investisseurs, même les plus moins populaires.

Alors que King Street cherche toujours à vendre le club au scapulaire au meilleur prix possible, les dossiers de rachat se multiplient à Bordeaux. À l’heure actuelle, quatre projets s’affrontent. Parmi eux, deux sont menés par des personnages bien connus au sein du football français : Gérard Lopez et Didier Quillot. Si le second a été Directeur Général de la LFP pendant plusieurs saisons, le premier a été président du LOSC jusqu’à la fin de l’année 2020. Mais s’ils présentent des offres solides, avec plus de 100 ME d’investissements promis, Jérôme Rothen n’a plus envie de voir celui qui a fait couler Lille financièrement, et celui qui a provoqué la grave crise des Droits TV en L1 avec Mediapro…

« Je n’ai pas envie de les revoir dans le football »

« Moi j’en ai marre de ces gens-là. Le projet de Gérard Lopez, celui de Didier Quillot… Au bout d’un moment, quand t’as des casseroles dans le football, c’est fini ! Je n’ai rien contre eux, j’ai même beaucoup de respect pour eux. Mais ils doivent assumer leurs conneries. Gérard Lopez a fait partie de l’aventure des champions à Lille. Mais sur lui, on ne va pas retenir le sportif. Il avait Campos pour ça. Sur l’aspect financier, Lopez a été catastrophique. C’est pour ça qu’il est parti. Bordeaux sort d’années dramatiques avec ce propriétaire qui a tout lâché… Les Girondins essayent de se reconstruire, en redonnant confiance aux amoureux du club. Ils ont besoin d’un projet stable. Lopez et Quillot, ça me dérange. Peut-être que leurs projets sont mieux que les autres, mais les hommes… Ils ont fait des conneries. Je n’ai pas envie de les revoir dans le football. Pour Bordeaux, je préfère un projet moins ambitieux, mais avec d’autres personnes qui y mettront le coeur », a lancé le consultant de RMC, qui aimerait donc voir le projet d’un homme comme Stéphane Martin aboutir plutôt que celui de Lopez ou Quillot.

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