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OL : Peter Bosz se prend la mentalité française en pleine face

Le débat sur les entraineurs étrangers et leur efficacité en France est relancé avec Peter Bosz à l’OL.

Sollicité en plein coeur de ses vacances, le technicien néerlandais a rapidement accepté le challenge lyonnais, peut-être sans savoir réellement où il mettait les pieds. S’il était d’accord avec les grandes lignes du projet de l’OL, il a vu qu’il y avait beaucoup de choses à changer, et notamment des joueurs qui avaient du mal à se mettre au travail, à avoir de l’engouement et de la volonté de bien faire au niveau de ses exigences. Résultat, la méthode passe mal pour le moment, et Eric Di Méco a bien vu que la cassure avec le vestiaire n’était pas loin. Cela se ressent avec l’épisode Marcelo, où certains joueurs ont « liké » sur les réseaux sociaux les parties de golf de leur futur ex-coéquipier, éjecté par Juninho et Peter Bosz la semaine dernière. 

« On va essayer de ne pas tirer d’enseignements définitifs au bout de trois journées. Il y a un nouvel entraineur qui arrive, ils perdent leur star qui est partie au Barça et qui était un vrai taulier, et donc on va attendre un peu. Le coach arrive avec de nouvelles méthodes qui peuvent surprendre. Avec un franc-parler qui est rafraichissant mais est dangereux car tu peux te mettre le vestiaire à dos. Il va vite se faire à la mentalité française aussi. Juninho a aussi une responsabilité sur tout ce qu’il passe. Des mauvais choix d’entraineurs, et un recrutement dont il a une part de responsabilités. Cette année, Juninho il va être jugé, il serait temps. Il a toujours été épargné de par son passé de joueur emblématique », a livré l’intervenant du Moscato Show, pour qui c’est l’ensemble de la structure sportive de l’OL qui joue gros avec ce début de saison délicat. 

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