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PSG : Ramos fait rêver tout le monde, c’est Fred Hermel qui le dit

Gêné par des pépins physiques à répétition, Sergio Ramos n’a disputé que trois matchs avec le Paris Saint-Germain. Pourtant, Fred Hermel assure que tout le monde rêverait de l’avoir au sein de son équipe.

Décidément, les débuts de Sergio Ramos avec le Paris Saint-Germain sont très compliqués. A cause de ses blessures, le défenseur central n’a disputé que trois matchs toutes compétitions confondues. Dont le dernier à Lorient (1-1) mercredi, interrompu par son carton rouge en fin de rencontre. Il faut dire que l’Espagnol est un spécialiste dans ce domaine, ce que Fred Hermel n’hésite pas à mettre en avant. « Sergio Ramos ne fait pas toujours dans la dentelle, a confirmé le journaliste de RMC. Moi j’adore parce que les gens critiquent Sergio Ramos, mais tout le monde rêverait de l’avoir en bon état dans son équipe. »

« Moi je me souviens de toute la polémique qu’il y avait eue autour de la blessure de Mohamed Salah, lors de la finale de la Ligue des Champions contre Liverpool, avec un but de Karim Benzema et un doublé de Gareth Bale, a rappelé le spécialiste du foot espagnol. Mohamed Salah tombe, mais Sergio Ramos fait son boulot de défenseur. On ne va pas reprocher à Sergio Ramos de faire son boulot de défenseur. Donc oui, parfois c’est un peu à la limite. Ça fait partie des risques du métier. » Quant à ses pépins physiques, Fred Hermel croit savoir que la détermination de l’ancien Merengue en est à l’origine.

Le modèle Ramos

« Ses blessures à répétition sont assez inquiétantes quand même. On sait d’où vient le problème. Le problème, c’est son genou, avec une stabilité et des appuis qui ne sont plus les mêmes. C’est ce qu’on appelle les fameuses compensations. Et lui, sa fragilité musculaire, ce sont les mollets. C’est quelqu’un qui a fait beaucoup d’infiltration, qui a pris beaucoup d’anti-douleurs dans sa carrière. C’est quelqu’un qui n’a jamais voulu arrêter. C’est tellement un gagneur, un battant que là où trois quarts des joueurs refuseraient de jouer, lui il joue sous infiltration. C’est un vrai capitaine qui parle et qui est écouté. A Madrid, il quittait l’entraînement en dernier. Il arrivait le premier et repartait deux ou trois heures après la fin. Il tire tout le monde vers le haut », a défendu notre confrère.

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